La procuration des carburants demeure un casse-tête pour les taximens et autres propriétaires des engins en consommation d’essence. Cette pénurie ne permet pas une circulation normale, surtout pour les transports dans la ville.
Environs deux semaine maintenant depuis qu’il s’observe une pénurie de carburant à Kisangani. Plusieurs stations services restent fermées, surtout celles des expatriés. Ces derniers exigent que le prix de 0,82 % fixé par le gouvernement national soit appliqué mais suivant le taux de change sur le marché. En dépit du soutien du gouverneur à quelques stations qui fonctionnent, les taximens passent plusieurs heures avant d’être servi et en quantité insuffisante.
Certains taximens souhaitent même qu’un litre d’essence soit vendu à 1.800 FC, pouvant permettre aux autres stations s’ouvrent pour s’en procurer comme d’habitude.